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De part les caractéristiques de la plupart des oeuvres pour écran de David Lynch, doit-on parler de films fantastiques ou de comédies dramatiques à la réalité inversée ? L'approche originale du cinéaste consiste à placer ses personnages dans leurs univers fantasmés, subconscients, et de nous les exposer comme faisant partis de la vision du monde telle que nous l'acceptons.
Marre des blockbusters aux 200 millions de dollars pour voir exploser des surplus de casses de voitures ? Ras-le-bol des mises en scènes au bistouri où chaque élément du scénario se trouve placé dans son bocal aux formules maintes fois éprouvées ? Non aux prises de têtes dûs aux émois de confidents introvertis en quête d'un bien-être éphémère ? Il est temps alors pour vous de découvrir un genre que le cinéma produit à son corps défendant : le nanar.
Les 26ème Hong Kong Film Awards se sont déroulés au Centre Culturel de Hong Kong dans la nuit du dimanche 15 avril 2007. Les résultats des votes ont consacré le réalisateur Patrick Tam pour son film AFTER THIS OUR EXILE qui reçoit 5 statuettes (meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur scénario, meilleur second rôle et meilleur nouvel acteur).
A l'occasion du 26éme Festival du Film d'Amiens qui se déroule du 10 au 19 novembre 2006, une rétrospective est proposée sur le cinéma Thaïlandais des années 70. 8 films représentatifs de cet âge d'or sont ainsi dévoilés au public français et plusieurs autres long-métrages contemporains seront également projetés.
Le Japon est l'un des rares pays à disposer d'une imposante industrie de production de films d'animations. De fait, au fil du temps, de grands noms parviennent enfin à une reconnaissance internationale, tels Hayao Miyazaki, Mamoru Oshii, Katsuhiro Otomo et quelques autres, officiants souvent à la tête de studios importants. Mais en scrutant plus encore dans le milieu de l'animé, on peut découvrir d'autres réalisateurs de talents, moins médiatisés, qui oeuvrent à l'ombre des grands studios pour tenter d'apporter leurs pierres à l'édifice du cinéma d'animation. Makoto Shinkai est l'un d'eux.
Précurseur du genre Cyberpunk, le cinéma du Japonais Shinya Tsukamoto tire ses inspirations des peurs qui ont engendré les créatures monstrueuses des Kaiju Eiga, mélées à celle plus contemporaine oû l'individu est transfiguré par une société alienante à la recherche de nouveaux repères à offrir.
Réalisateur, producteur et occasionnellement acteur, Tsui Hark est l'un des réprésentants majeurs du cinéma de Hong-Kong d'avant la rétrocession. A partir des années 80, son nom sera associé à bon nombre de productions oeuvrants à renouveler les codes cinématographiques du cinéma chinois, dans un large éventail de genres allant du film de gangster au Wu Xia Pian, en passant par le conte fantastique.
La fin des années 90 sonne le renouveau de l'industrie du cinéma en Corée du sud. L'essor économique s'accompagne d'un engouement de la part des citoyens de la péninsule pour son cinéma local jusqu'alors dominé par les productions Hollywoodiennes.
Jusque dans les années 1990, c'est par sa main d'oeuvre concurrentielle que la Corée du Sud trouve un créneau dans le domaine du film d'animation. Depuis sa première contribution en 1967 pour "The Golden Bat", une série TV japonaise, environ 800 autres séries seront ainsi sous-traitées à des sociétés sud-coréennes pour des productions Américaines, Japonaises et Européennes.
Après avoir quasiment disparu de la production cinématographique mondiale, le cinéma thaïlandais renaît de ses cendres depuis la fin des années 90 pour proposer un cinéma décomplexé qui a retenu les leçons des blockbusters américains et du cinéma asiatique.
Souvent inspirés par les publications mangas, très populaires au pays du Soleil Levant, les films d'animation réalisés au Japon se classent généralement selon trois catégories de média correspondant à des niveaux d'exigence de qualité différents et destinés à des publics très éclectiques.
Alors que la production cinématographique de l'Inde se trouve être l'une des plus prolifique au monde depuis des décennies, peu nombreux sont les films qui ont traversé officiellement les frontières jusqu'en France.
Comme pour le réalisateur japonais Takeshi Kitano, la consécration de ses films par des professionnels du cinéma Européen aux travers de nombreuses récompenses dans différents festivals, a servi de faire-valoir au talent de Kim Ki-Duk dans son propre pays, la Corée.